(34) 29.04.2009;

19.32h;

Pas mal

Ô l’effort éternel rapproche-toi de moi, baise-moi la poitrine. Ange caresse-moi avec tes plumes sous les aisselles. Et respire ta réglisse, voire mes gouttess sur ma pointe de fortune ; à la déchirure everything, j’en bave de trop de calcul ; je pleure des larmes d’infortune sur ma poitrine. Baise-la bien, ma poitrine, je touche ton infortune. Avec mes mains, je te sollicite, bande pour moi, une fois. Baise-les fortement celles-là, les mamelles feront écorces de citron, l’odorat nettoie le trône. Je te coupe la langue des jeux, héberge-moi dans ton jeu d’adieu. Dans ce mouvement noir couture, je te suis dans les traces averties cruelles, mais chaque avertissement se veut réel.

Baise-moi la poitrine, je te baise la bouche. Où caches-tu ton Styx ? Dans mon miroir aux âmes je vois, tu es condamné. Les miroirs, au fond de toi, vont t’aider à faire rimer l’eau et trouver le rythme du flot. Ô immortel des dieux, je baise ton génie. Chaque rafale te met à genoux, jusqu’au grand lever du jour. J’ai traversé ton Styx, et de grande beauté je vois la vie, arbre bleu et vert, odeur mentholée et jeu de dés, plissée sont tissu de thé et du charbon, dans l’air je deviens démone. Sans crainte de toi, je vois ton sort, malherbe sans pardon, dois-tu devenir patron.

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