PROLOGUE

08.11.2009; 16.25h;

Devils light – Le visage de Dieu

Princesse

La phase majestueuse de la vie

C’est sa signature de l’amour.

L’amour ne peut qu’être sultanine.

Mûre dans son état pur.

Ni le moindre geste de sa flatterie

Ne peux être associé à l’amour.

 

L’amour est une atrophie

De la mère de l’ombre utopique à sa racine.

 

Sa volonté est.

Et elle est belle.

Dieu s’incarne dans l’ombre.

Et je suis dieu.

 

Je salue l’homme en moi

Qui est ma nature.

Et mon soleil en moi.

 

Je filtre ma lumière qui joue avec moi.

 

Je suis l’ombre devant mon univers.

Je joue son jeu de l’amour.

Entre l’ombre et son sauvage :

La passion.

 

C’est ainsi la sauvagerie m’inspire.

Me chuchotant trop la langue

En me voyant car je suis voyante.

Ses mots me donne ma vision.

Me catapulte dans le vide de l’espace.

Là-haut les mots n’ont plus de sens,

Mais sont rythmes,

sont vibrations.

Car en premier est le mot.

Et en dernier arrive le vide.

L’ombre s’incarne.

Et nous jouons le jeu de l’éternité.

 

Je suis le diable que l’ombre me souhaite.

Je me multiplie en émotions pour lui.

Je n’ai pas de parole.

Je suis muette.

Je suis sa vision de l’homme.

Il me voit dans son miroir.

 

Je danse avec lui.

Il m’intrigue.

Sa passion me rend folle.

Je suis sa droguée de sa vibration vivante,

De ses mouvements incontrôlés.

Je contrôle ses mépris. (DE88)

 

La Légende de l’Image: Nathalie de LA PERRIÈRE-ALFSEN, « Le compositeur Cherubini et la Muse de la poésie lyrique », Histoire par l’image [en ligne], consulté le 26 septembre 2021. URL : http://histoire-image.org/fr/etudes/compositeur-cherubini-muse-poesie-lyrique

 

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