(1) 06.03.2009; 5.50h;
Bonjour la prêtresse
Prince
Allongés dans le bain, enlacés tendrement,
Ma bouche à ton oreille te susurre des mots doux.
Je suis d’humeur câlin, tu le sens, visiblement.
La chaleur de ton dos, la douceur de ta peau…
Je sens monter en moi l’envie de t’embrasser
L’envie de dire ces mots : « faisons l’amour dans l’eau ».
Mais tu réponds : « Ma foi, tu veux me savonner ? »
Je te dis doucement : « je préfère regarder »
Tu te dresses lentement, tu te tournes face à moi,
Me regardes tendrement, commences à caresser
Ce corps qui maintenant possède un air narquois.
Peu à peu je découvre, sur tes seins, tes épaules,
Une fine, blanche mousse qui se met à glisser,
Lentement te recouvre, puis redescend comme folle,
Cache ton intimité.
Alors je change d’avis, je ne peux m’empêcher
Voyant ce corps qui ondule devant moi
D’avoir une forte envie de tout te caresser,
Et je sens mon coeur battre quand je m’approche de toi.
Nous nous lavons tous deux, les caresses sont douces,
Mes mains glissent sur ton corps, et les tiennes sur le mien,
Nous nous sentons heureux, tous recouverts de mousse,
Pourtant on fait l’effort d’enfin sortir du bain.
Comme je l’avais senti, tu t’en vas t’allonger,
Je te vois dans la chambre, je te sais excitée.
Moi aussi j’ai envie, je me mets à songer
Qu’il semble que mon membre tu n’arrêtes pas de regarder.
Tu es là languissante, les deux jambes écartées
Et j’aperçois ta fente qui rougit lentement.
Je sens l’envie pressante d’aller la suçoter
D’en faire une bouche béante qui m’avale entièrement.
Et je m’approche alors et je viens t’embrasser,
Mon sexe caresse tes seins, je l’approche de ta bouche,
Bien sûr je suis d’accord pour aussi te caresser,
Et doucement mes mains vont, te frôlent, te touchent.
Entre tes cuisses je sens ton suave parfum
Un liquide suinte, je le lèche lentement,
Ma langue ici je glisse, je joue, un peu taquin,
Et tes lèvres jointes j’écarte doucement.
Tu t’actives sur mon gland, ta langue tourne autour
Tes deux mains me caressent, ma foi je coule aussi
Tu prends un rythme lent, le serres avec amour
Puis soudain tu le presses, fais monter mon envie.
J’embrasse ton bouton, le suce doucement,
Je sens qu’il va enfler, rougir et s’exciter,
Mon doigt part à tâtons te fouiller lentement
Et je me sens gonfler quand tu m’aspires sans pitié.
Nos sexes coulent maintenant et tu juges le moment
Tout à fait adéquat pour une autre position.
Tu me pousses gentiment, tu te tournes lentement,
Je te caresse d’un doigt, le bouge avec passion.
Tu prends les choses en mains, me serres violemment,
Mon membre se raidit et tu t’assois dessus,
Je caresse tes seins, les lèche tout doucement
On approche du paradis, de cette heureuse issue.
Tu montes et redescends, je sens ta grotte en feu
Qui me brûle la hampe, nos liquides se mélangent,
Alors en me hissant, je rentre encore un peu
Ainsi explosent nos sexes, et nous voici aux anges.
La Légende de l’Image: UNE FLEUR DANS UN JARDIN BOTANIQUE.